Un chocolat au lait d’une qualité rare, on pourrait dire unique au monde. Un chocolat dont j’ai absolument contrôlé la chaîne d’approvisionnement, en commençant par le cacao de Chuao, que j’ai personnellement suivi depuis sa récolte jusqu’au travail des femmes de Chuao lors de ma visite en 2017, puis importé grâce au travail inestimable d’un ami vénézuélien, et enfin délicatement torréfié et combiné avec du lait. Quel lait ? Celui de Mandola, une vache de deux ans au premier vêlage, un lait délicat et riche en nutriments, nourri uniquement d’herbe et de fourrage et dont j’ai suivi tout le processus, de l’analyse du lait à la santé de la vache, puis réduit en poudre artisanalement dans mon laboratoire de Vicoforte grâce à une technique innovante qui permet de déshydrater de petits lots avec un soin maniaque. Je l’ai appelé Leonardo en l’honneur de mon petit-fils, de père vénézuélien et de mère italienne, qui possède les mêmes caractéristiques que cet extraordinaire chocolat au lait. Un chef-d’œuvre absolu pour les amateurs de chocolat au lait comme moi. Je voulais produire le meilleur chocolat au lait du monde, parce que je l’aime.